En 1975, Pierre Bécat écrit un poème pour défendre l’intégrité du massif de la Gardiole, près de Gigean, auquel il était très attaché et au pied duquel il avait grandi. A cette époque, dans la suite de la funeste « Mission Racine », des intérêts économiques avaient poussé politiques et promoteurs à échafauder des projets grandioses de résidences, immeubles et autres complexes en béton, risquant de dénaturer cette ravissante contrée.